Certains couples vivent leur sexualité de manière très différente de l’ordinaire. Ce sont des unions très libres, agrémentées d’orientations sexuelles insolites, voire saugrenues. Voici quelques aventures d’un couple d’amis, Véronique et Kevin, qui vivent dans cette ambiance d’échangisme, faite de brèves rencontres avec des personnages étonnants et rocambolesques.
Quand ils se sont mariés, Véronique avait 24 ans, Kevin avait 31 ans. Elle avait perdu sa virginité très jeune, dans une fête étudiante où elle avait accompagné sa cousine plus âgée. Elle avait bu un soda drogué, et elle avait été livrée en pâture à une bande de salopards. Elle ne se souvenait de rien. Le dépôt de plainte n’avait rien donné, les coupables n’ont jamais été retrouvés. Est-ce à cause de cela qu’elle avait des mœurs aussi spéciales? Peut-être …
Kevin avait perdu son pucelage, quand ? Il ne le savait pas ! Qu’est-ce qui compte ? La première branlette, avec un copain, ou sa première pute, mais elle s’était contentée de le sucer, ou la copine de sa mère, l’été, en vacances au bord de la mer ? Celle-là, il l’avait bien niquée !
Véronique aimait les tenues sexy. Elle aimait porter des mini-jupes, des corsages semi-transparents, des soutien-gorge push-up, des talons hauts et des bas à couture. Elle conduisait sa voiture avec la jupe remontée très haut, le chemisier ouvert, en défiant les hommes du regard.
Elle aimait sucer des mecs dans des endroits risqués, dans une entrée d’immeuble, cachés derrière une poubelle, dans une voiture garée dans une impasse, dans un ascenseur … Elle avait des amis gays, ou bisexuels, et c’est elle qui les avait présentés à Kevin, l’entraînant sur le chemin du libertinage.
La première fois qu’elle a emmené Kevin chez Serge, ils l’ont trouvé en train de se faire sucer la bite par un gars, en regardant un porno. Sa porte n’était jamais fermée à clé et l’on entrait chez lui comme dans un moulin. Ce fameux Serge organisait des soirées échangistes, plusieurs fois par mois et il côtoyait tout un monde parallèle d’individus à la recherche du plaisir absolu. Ils y sont retournés souvent, pour parler, pour boire, et pour échafauder des plans de rencontres plus qu’amicales.
Il y avait un gars, Robert, un type dans la quarantaine grisonnante, qui plaisait bien à Véronique. C’est Serge qui a soufflé l’idée à Kevin, de savoir si cela lui plairait d’assister à une baise entre Robert et Véronique. L’idée a fait son chemin, après avoir évoqué la possibilité, envisagé les circonstances, et finalement Véronique a accepté d’essayer.
Véronique l'a reçu en sous-vêtements sexy, maquillée comme une voiture volée, allongée sur le divan comme une déesse antique. Kevin et Serge étaient vautrés sur un divan proche, et quand Robert a entrepris Véronique, les deux hommes ont sortis leurs bites pour se masturber. Bientôt, la baise devenant plus hard, Serge s’est penché sur Kevin pour le sucer. Ensuite, c’est Kevin qui lui a rendu la politesse. Véronique est devenue une habituée des lieux, et elle passait parfois seule, juste pour se faire baiser.
Un dimanche matin, très tôt, Serge est venu les réveiller accompagné de Robert. Il a dit que Robert aimerait se faire sucer la bite, par Kevin, devant Véronique. Elle a sauté de joie en demandant un instant pour préparer Kevin. Quelques instants plus tard, ils rejoignaient Serge et Robert au salon. Véronique avait habillé Kevin en fille, avec une perruque, un chemisier, une jupette et des talons. En plus, elle l’avait maquillé à outrance. On aurait cru voir une pute bon marché.
Kevin s’est agenouillé entre les jambes écartées de Robert, et il a commencé à sucer, à lécher et à branler Robert en suivant les recommandations de Serge, et les instructions de Véronique. Quand Robert a éjaculé, c’est Véronique qui a maintenu la tête de Kevin en place en lui ordonnant de tout avaler. Ensuite, Véronique s’est allongée par-terre, sur le dos, pendant que Robert lui faisait minette. Pendant ce temps, Serge enculait Kevin qui criait très fort.
Depuis ce jour-là, en rentrant du travail, Kevin trouvait parfois Véronique en galante compagnie. Des gars qu’elle avait ramassés au hasard, et qu’elle avait ramenés à la maison, en attendant Kevin. Invariablement, quand elle avait été bien baisée par son inconnu, elle exigeait de Kevin qu’il lui fasse minette pour lui nettoyer la chatte. Apparemment, il adorait faire le nettoyage des outils, il était devenu bisexuel, à tendance passive.
Une année, fin mai, Véronique et Kevin ont fait une croisière en Méditerranée sur un paquebot. Un voyage organisé pour, et composé de couples en mal d’aventures. La journée sur le pont, autour de la piscine, ou pendant les repas, ou la nuit dans le dancing du pont inférieur, les couples se rencontraient, échangeaient et s’échangeaient. C’était facile de faire connaissance, on était entre gens de bonne compagnie, les couples présents savaient pourquoi ils étaient là, et ce qui les attendait.
Véronique et Kevin ont passé d’agréables vacances, ponctuées de rencontres relevées d’ivresses sexuelles. Un soir, au dancing, après le repas, le couple n’avait pas encore eu le temps de s’installer à une table, que Kevin a été abordé par deux jeunes hommes du plus beau noir :
« Hé, mec, t’es à la recherche d’une grosse bite noire pour ta femme ? »
Véronique était superbe, mise en valeur par un chemisier blanc transparent, une mini-jupe noire, et des talons aussi hauts qu’une cathédrale. Elle leur a souri, sans répondre, en serrant fort la main de son mari pour lui indiquer son désir d’être baisée par ces deux étalons. Les yeux baissés, telle une vierge effrayée, elle attendait le résultat des négociations entre Kevin et les deux noirs, en surveillant la bosse dans leurs entrejambes.
Ses mamelons se tendaient, comme s’ils voulaient jaillir hors du chemisier, son souffle s’accélérait en soulevant rapidement ses nichons tout ronds. Les deux gars proposaient de leur offrir un verre, et Kevin a accepté. Kevin s’est assis d’un côté de la table, Véronique en face, et les deux gars de part et d’autre d’elle, leurs genoux contre ses cuisses. Tout contre. Et ils n’ont pas traîné pour apprécier la fermeté de la marchandise. Véronique se laissait tripoter, souriante et émoustillée.
Ils étaient assis à une table vers le fond, et un des deux mecs a demandé s’il pouvait inviter la jeune dame à danser. Kevin a accepté, et le premier a entraîné Véronique vers la piste de danse. Le deuxième gars a tenu compagnie à Kevin un moment, puis il s’est levé pour rejoindre le couple de danseurs, et prendre son tour. Kevin a continué à boire en tournant le dos à la piste. Au bout d’un moment, comme personne ne revenait lui tenir compagnie, il s’est levé pour les chercher du regard, au milieu de la foule de danseurs.
Kevin a eu beau chercher, faire le tour de la salle, des salons voisins où les couples s’unissaient, monter à l’étage supérieur, sur le pont promenade, le trio restait introuvable. Il ne connaissait pas le numéro de cabine des deux blacks, il a essayé de faire sonner le portable de Véronique, rien à faire. Sa femme étant introuvable, il a dû se résoudre à passer sa nuit tout seul. Très tôt le matin, son portable l’a réveillé.
C’était Véronique, qui lui donnait le numéro de la cabine où elle se trouvait, et qui lui demandait de venir la rejoindre. Il s’est dépêché de venir la retrouver. Sur place, un des deux black l’a accueilli, entièrement nu. Son sexe au repos était deux fois plus gros que celui de Kevin. Sur le lit, Véronique, alanguie, était blottie dans les bras du deuxième mec, monté lui aussi comme un âne. Le visage de Véronique était marqué. Son maquillage avait disparu, et des cernes lui mangeaient la moitié du visage. Sa chatte portait les stigmates de la débauche nocturne, les grandes lèvres distendues laissaient sourdre une mousse blanchâtre qui tachait ses cuisses et le lit.
« Viens, mon chéri, viens nettoyer ma chatte, ces deux brutes m’ont baisée toute la nuit, je suis morte de fatigue »
Kevin s’est précipité pour toiletter sa femme, et les cuisses de Véronique lui ont emprisonné la tête. Profitant de la position de son mari, tête basse et fesses en l’air, la coquine a fait signe à celui qui avait ouvert la porte, de venir s’occuper des fesses de son mari. Souriante, sans parler, elle a fait un geste explicite des deux mains avant de montrer du doigt le trou du cul de Kevin. Le premier instant de surprise passé, le gars s’est approché lentement, a saisi sa bouteille de lubrifiant, et il a commencé à s’astiquer la verge en étalant l’huile de vaseline.
Quand le gars s’est estimé suffisamment dur, il a posé une main sur le fessier de Kevin qui s’est retourné, surpris. Mais Véronique est intervenue :
« Là, chéri, ça va, laisse-toi faire, tu vas aimer, et occupe-toi mieux de moi »
Kevin n’était pas sûr qu’il allait aimer, mais comment résister à Véronique ? Ce n’était pas sa première fois, après tout, mais ça lui faisait toujours un peu mal. Cette fois, il n’a pas eu un peu mal. Il a vraiment souffert, et Véronique a dû forcer et s’arc-bouter pour le maintenir entre ses cuisses musclées. Les doigts de Véronique crochés dans sa chevelure maintenait fermement sa bouche collée à la chatte poisseuse de sa femme, ce qui étouffait ses cris de protestations et de douleurs mêlés. Le black commençait à le pilonner fermement, amusé par la situation. Kevin semblant être maîtrisé, le noir allongé à côté de Véronique, et qui avait suivi toute l’opération d’un œil intéressé, a demandé à Véronique de prendre sa place.
Aussitôt, Véronique a libéré la tête de Kevin et s’est poussée de côté pour laisser la place au black qui a présenté sa bite demi-molle à sucer au cocu complaisant. Véronique s’est mise à encourager son mari, baisé par deux blacks, un dans son cul, l’autre dans sa bouche, en glissant la main sous lui pour lui tripoter la bite. Effectivement, le frottement d’une grosse bite contre sa prostate avait favorisé son érection, et le pauvre Kevin bandait comme jamais.
Véronique et Kevin ont passé la journée dans la cabine des deux machines à baiser. Ces deux blacks, qui étaient infatigables, se faisaient appeler Thierry et Henry. Le soir venu, le paquebot faisait escale dans un port de la côte tunisienne. Les deux gars ont dit qu’ils allaient à terre, rejoindre un copain qui tenait un bar à chicha. Véronique a demandé s’il pouvaient venir avec eux, et ils ont accepté. Véronique et Kevin sont passés par leur cabine pour une douche rapide et se changer, avant de rejoindre leurs nouveaux copains pour une balade en ville.
Ils ont pris un taxi bringuebalant qui les a emmenés au cœur de la vieille ville. Ils ont suivi un dédale de rues animées, avant d’arriver devant une échoppe qui ne payait pas de mine, mais qui était bondée à craquer. Il n’y avait que des hommes. Véronique était la seule femme. À son entrée, les conversations ont cessé, et tous les regards ont convergé vers ses formes féminines. Automatiquement, se sentant désirable, elle a dégrafé deux boutons de son chemisier, et elle a ri très fort aux salamalecs de bienvenue de l’aubergiste.
Ils se sont installés sur des coussins, autour d’une table basse, et on leur a apporté 4 pipes et 4 tasses de thé. Ils ont commencé à consommer, mais ils se sont vite aperçus qu’ils étaient la cible des conversations. Bientôt, l’aubergiste est venu à leur table pour demander :
« Les hommes veulent savoir si ta copine suce des bites, ou si elle baise ? »
S’ensuivit une conversation animée, mais à voix basse, entre le tavernier et les deux jeunes blacks, qui s’est terminée par :
« Pas ici, alors ! J’ai un endroit plus discret dans l’arrière boutique »
Les deux gars ont entraîné Véronique dans le sillage de l’aubergiste en direction de l’arrière-boutique, laissant Kevin seul à la table. Bientôt, le mot a circulé, et une file d’attente s’est formée dans le couloir. Après plusieurs heures, celui qui se faisait appeler Thierry est venu chercher Kevin. Il l’a emmené dans le fond du magasin. Ils ont remonté toute une file d’attente. Tout au bout, un rideau maintenu par des ficelles. Devant le rideau, Henry encaissait l’argent. Thierry a entrouvert le rideau, pour faire entrer Kevin.
Véronique était allongée là, entièrement nue, avec pour seul matelas une pile de sacs de patates crasseux. Le black a dit à Kevin que Véronique était claquée, qu’il fallait qu’elle se repose une paire d’heures, et que Kevin devait prendre sa place. Kevin a essayé de protester, mais il ne faisait pas le poids, et une bonne raclée l’a convaincu qu’il était plus raisonnable d’obéir. Bien évidemment, la file d’attente s’est résorbée rapidement, ce qui évité à Kevin de trop souffrir.
Au petit matin, tout ce beau monde a regagné le navire, qui allait appareiller pour regagner la haute mer. Il a fallut deux jours de repos total à Véronique pour récupérer de toutes ses acrobaties. En attendant, les deux blacks s’étaient fait une jolie cagnotte, et ils n’ont pas voulu partager. Quand Véronique et Kevin ont repris visage humain, ils sont descendus s’amuser au pont inférieur qui servait de boîte de nuit. Et ils sont tombés de nouveau sur les deux racailles noires. Thierry ne s’est pas embarrassé de fioritures. Sans façon, il a enlacé étroitement Véronique, et l’a entraînée sur la piste de danse, laissant Henri faire la conversation à Kevin.
Kevin les suivaient du regard, Véronique enlaçait étroitement Thierry, qui prenait les fesses de la donzelle à pleines mains. Thierry leva les yeux, fit un clin d’œil et un sourire à Kevin, et embrassa Véronique à pleine bouche. Ce qui amena une réflexion à Henry : « Ta femme, elle aime vraiment la bite, quelle salope ! » Tout au long de la soirée, les deux crapules se sont relayés pour faire danser Véronique. C’était vraiment un spectacle ! À un moment, Kevin s’est aperçu qu’elle n’avait pas de culotte ! Au milieu de la nuit, un des deux gars, Kevin était trop saoul pour savoir lequel, a donné le signal du départ. Prétextant qu’ils se levaient tôt le lendemain pour débarquer, ils ont entraîné le jeune couple, pour les baiser à leur retourner le cerveau.
À la suite de cette aventure, Véronique s’est produite en spectacle, dans des clubs privés. Elle avait un numéro spécial, qu’elle appelait un rallye, qui consistait principalement en un pari d’arriver à baiser une cinquantaine de gars en moins d’une heure. Elle prétend qu’elle y arrivait souvent.
On m’a présenté ce récit comme étant une histoire vécue. Personnellement, j’en doute. Mais j’ai changé les noms, les lieux, les dates, afin que les personnes prétendument concernées ne puissent pas se reconnaître.
*FIN