Insolite

Mon fantasme préféré c’est de faire l’amour à une inconnue subrepticement.

C’est quoi ça subrepticement ?

Je vais vous expliquer et vous allez alors comprendre pourquoi, moi, j’aime ça.

D’abord sachez que je suis un voyou. Et un voyou, voyez-vous ça fait l’amour aux inconnues et en sus, subrepticement…


J’étais au musée, le Petit Palais. Une grande brune, chaussée du casque de son audio guide, s’émerveillait des tableaux. Moi je
matais son chemisier et ses pointus qui dansaient portés de lourds nibars libres sous le coton fin presque transparent. Sa
concentration en admiration des toiles l’avait déconnectée de l’exhibition totalement sexuelle et indécente à laquelle elle s’adonnait.


De plus, j’étais manifestement le seul à être ému de la situation, le seul à bander effrontément sans retenue aucune.L’art rend aveugle… Et les autres visiteurs du musée pour cette expo temporaire n’avaient d’yeux que pour le futile des œuvres
picturales. J’étais seul en conscience de la réelle beauté. Vivante.


J’ai pris un peu d’avance et ai repéré une porte marquée privé, j’ai visité le lieu sorte de réserve jonchée de tableaux indignes d’être exposés et d’un canapé large Louis XVIII.


Quand la brune est arrivée devant la porte marquée privé, j’ai coupé l’audiophone en pressant le bouton off et j’ai dit à la fille, les plus beaux sont là derrière cette porte, viens t’en avec moi.Les filles sont comme ça, un peu crédules un peu cruches. Elle est venue, mon bras à sa taille et un bonheur lumineux de surprise dans les yeux.


Le canapé Louis machin l’a accueillie comme fruit mûr tombé de l’arbre, sa jupe fluide a découvert une chaste culotte haute sur les hanches et mes lèvres ont, sans ambage, contourné l’élastique lâche de l’aine pour bouffer ses plis et replis en salivage intense.
Elle est restée coite, émue et stupéfaite de la situation.
Elle n’avait plus le secours le soutien de l’audio guide pour mener ses réflexions. Alors elle a laissé aller à son bonheur à ses
sensations.


Nous les gars, on est vraiment des voyoux.


Quand j’ai présenté mon outil tendu, elle s’en est emparé, déterminée d’une main solide et préhensile.L’élastique d’aine de la grande culotte blanche avait perdu toute élasticité. Elle a mené mon gland à l’orée du papillon et j’ai glissé
ma rigidité jusqu’au fond de son abdomen trempé accueillant.
Cette grande brune addicte aux œuvres impressionnistes était bonne.
Par un bug technique dont je n’ai toujours pas compris l’origine, l’audio guide a repris vie et nous a dit, maintenant un déjeuner sur l’herbe de Manet avec Berthe Morisot…


Et alors j’ai déchargé et la brune a monté ses cuisses haut trés haut en chantant la carmagnole.

CE SITE A ÉTÉ CONSTRUIT EN UTILISANT