Agathe est mon élève depuis plus de 4 ans. Elle a 17 ans passé maintenant, c’est une très bonne pianiste que je prépare pour un concours international. Agathe vit chez ses parents, père médecin, mère psychologue, donc pas de problème de fin de mois. Pour ma part, je suis un ancien concertiste, ayant connu le succès il y a quelques années, j’enseigne maintenant mon art chez moi en cours individuel. Mes tarifs sont à la hauteur de ma réputation.
Je suis très satisfait d’Agathe que ses parents m’ont confié après un cursus en conservatoire.Elle est devenue une jolie jeune fille, brune, mince avec de magnifiques yeux verts. Elle est assez timide et réservée, même si nous nous connaissons depuis plusieurs années.
Son cours dure une heure, et parfois je suis assis à côté d’elle, contre elle, sur le banc de piano pour commenter tel ou tel passage de l’oeuvre qu’elle doit interpréter, et parfois je suis debout à marcher derrière elle ou simplement à la regarder tout en écoutant. Son mignon petit cul sur le banc me laisse de moins en moins insensible, même si je chasse vite les idées lubriques qui me viennent.
Un jour, après avoir senti sa cuisse contre la mienne, je me lève et viens me mettre derrière elle. Je l’interromps et je penche en m’appuyant contre son dos pour lui indiquer sur la partition le mouvement qu’il lui faut reprendre. Je suis persuadé qu’elle doit sentir contre sa nuque la dureté de mon membre. Ma main quitte la partition et vient se poser sur son épaule, je sens un léger frémissement de son corps, mais aucun reproche de sa part.Je suis très hésitant et l’invite à reprendre son jeu. Je continue le mien et mes doigts battent une mesure incertaine sur son épaule et un peu plus bas que les clavicules. Ma virilité appuie toujours dans son dos, et je la sens perturbée part mon audace sans savoir ce qu’elle en pense.. Mes doigts glissent un peu plus sur le haut de son sein gauche, mais je ne trouve pas le courage d’aller plus loin.La fin du cours arrive et après quelques conseils, nous prenons rendez vous pour dans 2 jours.
Quand Agathe arrive ce jeudi, je suis émerveillé, elle porte une jolie robe printanière assez sage, un peu au-dessus du genou, boutonnée entièrement sur le devant avec une petite ceinture de tissus identique à la robe. Elle prend place sur le banc et commence ses échauffements. La robe est remontée d’une dizaine de centimètres sur ses cuisses et la vue de ses jambes nues m’émoustille au plus au point. Même scénario que le cours précédent, je m’installe tout contre elle sur le tabouret et je sens la chaleur de sa cuisse contre la mienne, ce qui ne manque pas de me donner une petite érection. Je me lève, la laisse interpréter l’oeuvre et je reviens me coller contre son dos, mon pubis collé à son cou. Frémissement de sa part, je sens le trouble. J’appuie plus fort en me penchant pour lui indiquer un passage sur la feuille et ma main vient à nouveau sur son épaule. Elle joue plus difficilement. Mes doigts glissent sur l’encolure de la robe et tout en délicatesse j’ouvre deux boutons. Ma main continue sa route jusqu’à envelopper dans sa paume le sublime petit sein. J’entends son souffle s’accélérer un peu. Mon érection est à son paroxysme, ma main droite maintenant continue d’ouvrir les boutons de la robe et j’écarte les pans dévoilant à ma vue ses sous vêtements.
Toujours derrière son dos, mes mains passent de ses seins à son intimité. La moiteur de sa culotte me rassure un peu sur son désir. Je pense qu’elle est encore vierge et je ne voudrais surtout pas lui ôter son hymen.J’ai sorti ma bite, et je me masturbe contre son épaule, contre sa joue. Il y a bien longtemps qu’elle ne joue plus, mais reste immobile devant le piano. Mes caresses se font plus précises et je sens ses jambes s’écarter légèrement. Deux doigts sous la culotte, je trouve ses lèvres très humides et mes doigts se crispent sur son clitoris. Enfin elle émet un râle de plaisir. Sa tête se tourne et le bout de sa langue vient effleurer ma bite que j’agite de façon très désordonnée. Je suis au bord de la jouissance et je continue de martyriser son intimité, ses cuisses sont largement ouvertes maintenant, ses gémissements s’accélèrent, je sais qu’elle va avoir un orgasme, ma queue est prête à exploser et quand sa langue se pose sur mon gland mes jets de sperme lui inondent la langue et le bas de son magnifique visage…
Je lui tends un paquet de kleenex, je baragouine quelques excuses, Agathe boutonne sa robe et disparait vite en disant à mardi, jour de son prochain cours… Elle n’a prononcée aucune parole durant ce cours, mais j’attends fébrile notre prochain rendez-vous.
Si cette histoire vous a plu, vous pouvez m’écrire, c’est avec plaisir que nous pourrions échanger quelques courriers érotiques. Salutations.
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